SD17 / Fouille programmée de la Fabrique de la ville, pour une archéologie visible et partagée – Campagne 2012

8 février 2016 dans Banque de cas d'école 2, Cas Education 2, Cas Mémoire 2, Cas Saint Denis 2 par Irene Favero

fabriquevilleObservateur(s) Christelle Amand (contact),  Matthieu Ecrabet (contact)
Institution : Saint-Denis/ Direction de la Culture/ Unité d’archéologie
Web : site

L’année 2012 constitue la 4e campagne de la fouille programmée de la Fabrique de la ville à Saint-Denis. Une fouille programmée est avant tout un projet scientifique de recherche, mené sur un terrain sans contraintes d’aménagement urbain à court terme. Le projet était en gestation depuis 2000 au sein du service. Le potentiel archéologique de ce cœur d’îlot urbain en hyper centre-ville a été mis en évidence grâce à la corrélation d’opérations archéologiques menées dans ses abords, en lien avec des projets d’aménagements, et son étude archivistique. Parallèlement à cela, il y avait une volonté forte de renouer avec une attente, celle d’habitants encore marqués par les grandes fouilles qui ont accompagnée la rénovation urbaine du centre ville de Saint-Denis des années 70 aux années 90. L’archéologie était alors particulièrement visible et de nombreux bénévoles se sont investis.
Très rapidement, le projet scientifique de la fouille programmée a donc été indissociable d’un travail de médiation vers une archéologie partagée, par l’organisation de l’ouverture aux publics du chantier.


Ressources complémentaires :

SD18 / Acceuil de « collaborateurs de service public »

8 février 2016 dans Banque de cas d'école 2, Cas Mémoire 2, Cas Saint Denis 2 par Irene Favero

fabriqueville2Observateur(s) : Francelyne Brun-Adam (contact)
Institution : Ville de Saint-Denis – Direction de la culture – Unité d’Archéologie – gestion et de la conservation préventive
Web : site

Des bénévoles viennent participer à l’important travail qui suit toute fouille archéologique. La fouille programmée de la Fabrique de la ville c’est 5 mois de terrain et une importante accumulation de mobilier archéologique à traiter. L’idée était également d’exploiter les capacités, les talents et les connaissances de chacun en les mettant au service d’une équipe et d’un projet scientifique. Certains savent dessiner, d’autres pratiquent la photographie en amateur ou encore sont des cracks en informatique.


Ressources complémentaires :

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